Le village de Jouy en Josas,

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dans cette fraiche vallée de la Bièvre que Victor Hugo à chantée doit sa célébrité aux toiles peintes qu' Oberkamph y fabrique au XVIII° siècle, et qui sont connues dans le monde entier sous le nom de Toiles de Jouy. C’est un très vieux village. Son nom apparaît pour la première fois dès le IX° siècle. Les forêts qui couvraient alors la contrée étaient peu à peu défrichées par les moines de l’abbayes de Saint-Germain-des-Prés qui, selon toutes vraisemblances, fondèrent la paroisse. Il est cependant possible qu’il s’ y soit trouvé auparavant un grand domaine gallo-romain. La terre fut appelée Gaudiacum, la joie, d’où Jouy.

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  L'état des terres de l’abbaye de Saint-Germain-des-Prés datant du IX è siècle nous apprend que le village comptait alors cent dix feux. La seigneurie de Jouy fut constituée plus tard et l’on trouve, au temps de Saint-Louis, des Seigneurs de Jouy qui se montrèrent généreux envers les monastères avoisinants. La seigneurie passe ensuite (à partir de la fin du XV° siècle) à diverses familles qui s’illustrèrent dans les Armes, dans l’Eglise ou directement au service du roi comme Antoine d’Aquin, médecin de Louis XIV ou son petit-fils Antoine-Louis de Rouillé, Secrétaire d’Etat à la marine et aux affaires étrangères sous Louis XV.

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